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La peur du gendarme est souvent la principale crainte des conducteurs qui s'apprêtent à rouler en ayant consommer de l'alcool. Pourtant un risque bien plus important plane : celui de ne pas être couvert par son assurance auto en cas d'accident responsable.
"Boire ou conduire, il faut choisir". Ce célèbre slogan des années 80 reste plus que jamais d'actualité, puisque d'après les statistiques de la Prévention routière, l'alcool était en 2013 la cause principale de presque 1 accident mortel sur 3... Au-delà des sanctions pénales, connaissez-vous les effets de l'alcool sur votre assurance auto ?
Entretenir votre véhicule est une obligation légale depuis 1992. Chaque année, en France, plus de 25 millions de véhicules de plus de 4 ans effectuent leur contrôle technique. Tout défaut est alors soumis à des sanctions. Que risquez-vous à rouler sans contrôle technique ? Qu’arrive-t-il en cas d’accident ?
Le nombre de conducteurs roulant sans assurance auto ne cesse d’augmenter et ce, malgré les risques encourus ! Selon, le Fond de garantie des assurances obligatoires de dommages (FGAO) environ 750 000 véhicules circuleraient sans assurance alors même que l’assurance au tiers est le minimum obligatoire.
En France, conduire sans permis et/ou sans assurance constitue un délit grave. Or selon l’Observatoire national de la sécurité routière, près de 700.000 automobilistes conduiraient sans permis de conduire. Ils seraient tout autant et même plus à rouler sans assurance, 750.000 selon le Fonds de garanties des assurances obligatoires de dommages (FGAO).
Conduire sous l’emprise d’alcool expose le conducteur à des sanctions importantes d’un point de vue légal mais également vis-à-vis de son assurance auto. L’alcool au volant augmente les risques pour l’assuré comme pour l’assureur. A 0,5 g d’alcool par litre de sang, un conducteur multiplie par deux les chances d’avoir un accident et par dix à 0,8 g/L. Quelles sont les sanctions ?
Dans les bouchons, en ville ou même sur les routes désertes de campagne, des fautes de conduite qui pourraient vous paraître minimes peuvent rapidement vous coûter très cher. Quelles sont les infractions les plus répandues et quel est le barème appliqué pour la perte de points ?
Pour lutter contre l'insécurité routière et l'augmentation inquiétante du défaut d'assurance, un rapport de l'Inspection générale de l'administration (IGA) préconise la création d'un fichier des véhicules non-assurés, croisant les fichiers des cartes grises et ceux des assureurs.
Face à l'augmentation inquiétante du nombre de véhicules non assurés, l'Etat prévoit de nouvelles mesures. Objectif : identifier rapidement les véhicules concernés, avant qu'ils ne soient impliqués dans des accidents aux conséquences dramatiques, pour leurs victimes mais aussi pour leurs auteurs...
A la veille des premiers départs en vacances d'été, de nouvelles mesures de sécurité routière sont entrées en vigueur. Destinées à réduire la mortalité routière qui a connu en 2013 sa première augmentation depuis 12 ans, ces mesures sont applicables depuis le 1er juillet 2015.
Si vous êtes soumis à un contrôle routier spontané ou faisant suite à une infraction constatée, plusieurs éléments pourront être vérifiés : papiers, équipements obligatoires, état du véhicule... Petit rappel de vos obligations pour éviter les sanctions.
Les excès de vitesse sont légion en ville comme sur les grands axes et constituent aussi bien un danger pour les autres que pour votre propre sécurité. Au-delà d'un certain seuil et en cas de récidive, ils constituent même un délit qui peut vous mener jusqu'à la prison ! Dans tous les cas, qu'il s'agisse d'un petit ou d'un grand excès de vitesse, vous êtes bon pour y laisser quelques points de votre permis !
Le 31 juillet 2015, la ministre de la Justice, Christiane Taubira, a présenté en Conseil des ministres un projet de loi sur « la justice du XXIe siècle ». Une mesure très controversée de ce projet consisterait à requalifier en contravention ce qui est aujourd’hui un délit : la conduite sans permis.
L’usage du téléphone au volant était déjà passible d’une amende et d’un retrait de points. Les casques, oreillettes filaires et autres kits bluetooth étaient tolérés. Mais depuis le 1er juillet 2015, tous ces dispositifs dits "mains-libres" sont interdits au volant ! Explications.
